Lorsque nous observons les jeunes filles en âge d’avoir une conscience politique, lycéennes des grandes classes et les étudiantes, les jeunes travailleuses, il appert, en général, qu’elles sont davantage attirées par les frivolités : trafic des faux cheveux, maquillage, mode, faits divers, séries télévisées américaines, brésiliennes, mexicaines, indiennes vouées à la perversion des mœurs et des valeurs morales, attirance vers des têtes vides de prétendus ‘ » influenceurs et influenceuses » sapeurs ou « artistes », des bimbos aux culs surdimensionnés avec des seins comme des melons, le tout artificiel et kpayo, bien entendu, et des pasteurs escrocs et gros baiseurs devant l’Eternel, propriétaires de sectes farfelues à la con…
Toute cette légèreté dans un pays sinistré et livré aux prédateurs voleurs de la République et aux impérialistes, fait le jeu du régime illégitime et usurpateur.
En effet, chaque fois que les femmes se sont impliquées massivement dans les révoltes contre les despotes de ce pays nôtre, ils ont tremblé. La peur changeait de camp.
Nos bourreaux savent ce que représentent pour eux les Togolaises mobilisées pour les chasser du pouvoir.
Encourageons donc les femmes à s’accaparer de la chose publique. Mettre la moitié de l’humanité au garage, c’est comme s’amputer soi-même d’un bras.