« Je te remercie de pouvoir relancer notre objectif sur nos richesses naturelles améliorées par nos chercheurs. Nos chercheurs de ce secteur doivent convaincre et tenir une part importante dans le débat et les communications. Au début de cette crise sanitaire, nous avions écouté, lu et apprécié les différents élans tradi-scientifiques locaux, du Bénin, du Burkina, de Côte d’Ivoire ; en définitive, sur la période, un assèchement de leurs efforts est constaté. Il faut rebooster par des forces publiques ; dans les discours et autres attitudes publiques, l’importance de nos méthodes locales pour soutenir le système immunitaire (manger et boire ce qu’il faut) pour des anticorps naturels vigoureux, chez ceux et celles qui sont vaccinés, qui sont envahis par des anticorps spécifiques pour les mêmes résultats. Cette importance de nos richesses médicales locales doivent figurer dans les interventions des politiques (ils n’ont pas cette prépondérance de communication ; ce qui est regrettable), dans le discours du Premier Ministre devant l’Assemblée Nationale, demandant la prorogation de l’état d’urgence sanitaire, par exemple.
C’est à nous tous de remonter nos valeurs ; nos chefs traditionnels qui sont proches de ces méthodes et applications locales doivent porter un regard sur la promotion, la recherche conjointe.
Tu fais bien de noter le financement de ces recherches de nos laboratoires universitaires en lien avec les tradithérapeuthes, en définitive pour écrire des publications pour la promotion universitaire et pour le bien public ; c’est ce dernier qui manque de visibilité large et d’acquisition territoriale.
Bon appétit.
Tu portes le masque
Allumer le réfléchir »