Quand il dénonce une corruption de 500 milliards de francs cfa, un fait confirmé par l’Inspection Générale des Finances, la justice le condamne.
Quand il porte un commentaire sur un dépositaire de l’autorité publique, il est convoqué illico presto par les services de police chargés des grands criminels.
Ferdinand, est-il devenu cette petite voix intérieure qui ronronne continuellement dans la tête de nos dirigeants pour qu’on cherche à la faire taire ?
La liberté de pensée, la liberté d’expression et la liberté de la presse sont bafouées chaque fois que les journalistes et les médias sont pris dans les griffes du régime. Ces concepts sont devenus une vue de l’esprit au Togo.
Faire taire les médias, c’est emprisonner la démocratie.
Laissez Ferdinand Ayité tranquille !
Gamesu
Nathaniel Olympio
Président du Parti des Togolais