Le récit des faits, révèlent que certains élèves mécontents de la mesure, se sont livrés aux actes de vandalisme (casses de véhicules appartenant à des particuliers, attaques sur d’autres élèves et enseignants etc..). Des
faits dénoncés par le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile qui appelle les parents d’élèves, les élèves et les enseignants à prendre leurs responsabilités, car « une violence volontaire est passible devant le juge et peut coûter à son auteur 12 à 24 mois de prison ».
« Ce sont les parents qui ont mis au monde les enfants et non l’inverse. Ce n’est pas à l’enfant de dire à son père ce qu’il veut faire. Jusqu’à preuve de contraire, c’est les parents qui payaient l’écollage des enfants jusqu’à l’année dernière où l’Etat a demandé aux parents de ne plus payer les frais de scolarité et les frais d’examens. C’est quelque chose quand même. Quand on descend les chiffres c’est des milliards. Aujourd’hui ont est en train d’équiper les établissements des tables bancs, et c’est ce que les élèves se mettent à casser encore, et demain ils vont se plaindre du fait qu’ils n’ont pas ceci ou cela. L’enfant du pauvre sait comment ménager ce qu’il a, en attendant peut-être d’avoir un surplus.