Fily Sissoko, nouveau Représentant résident de la Banque mondiale au Togo

Le nouveau Représentant résident de la Banque mondiale pour le Togo, Fily Sissoko, dont le mandat est effectif depuis le 1 er juillet 2022, a rejoint son poste à Lomé où il a officiellement pris fonction cette semaine.

FilySissoko remplace Hawa Cisse Wague, dont le mandat a pris fin le 30 juin dernier. « C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je prends fonction au Togo, pour renforcer le partenariat déjà fructueux entre le pays et le Groupe de la Banque mondiale. Je viens dans un pays où l’engagement fort des dirigeants à opérer une transformation socio- économique structurelle se manifeste à travers des actions et des chantiers importants dans plusieurs domaines », a déclaré M. Sissoko lors de sa prise de fonction. « Notre portefeuille en cours se porte déjà bien, mais je m’emploierai à le booster davantage pour apporter des solutions durables en réponse aux besoins des populations ».

De nationalité ivoirienne, Fily Sissoko a rejoint la Banque mondiale en 2002 en tant que spécialiste en
gestion financière au bureau de Dakar. Il a depuis occupé divers postes, le plus récent étant celui de
Manager du pôle de compétence sur la Gouvernance pour la région Asie de l’Est et Pacifique, basé à
Bangkok.

Dans ses nouvelles fonctions, M. Sissoko a trois principales priorités :  renforcer l’engagement de la
Banque mondiale au Togo afin de poursuivre l’appui à la mise en œuvre de la Feuille de route
gouvernementale, notamment en matière d’inclusion économique et sociale ; renforcer le dialogue
avec les autorités nationales et les principales parties prenantes ; et  assurer le leadership de l'équipe
de la Banque mondiale au Togo.

M. Sissoko est le douzième Représentant Résident, depuis l’ouverture du Bureau de la Banque
mondiale au Togo en 1982. Le portefeuille actuel de la Banque mondiale au Togo s’élève à 917,5 millions de dollars et comporte dix- neuf (19) projets et programmes couvrant plusieurs domaines de développement prioritaires pour le pays, notamment : la bonne gouvernance, l’amélioration de la gestion des finances publiques, la santé,
l’environnement, le développement urbain, l’énergie, le développement local et protection sociale,
l’éducation, l’agriculture et l’emploi des jeunes vulnérables.